Le vainqueur du prestigieux Concours international de piano Van Cliburn (USA, 2013), Vadym Kholodenko a entamé une carrière internationale saluée par la critique musicale dans toute l’Europe, l’Asie et l’Amérique du Nord. Le Philadelphia Inquirer l’a loué pour « ses captivantes nuances mélodiques » et « ses passages étincelants» dans son interprétation de Tchaïkovski avec l’Orchestre de Philadelphie. En France DIAPASON et CLASSICA ont consacré des articles élogieux sur son interprétation du Concerto n°5 de Prokofiev à la PHILHARMONIE DE PARIS et ses albums sortis sous le label de Harmonia mundi.
« Dans le programme russe exigent Vadym Kholodenko a fasciné par la concentration de son jeu, la rondeur et la densité de sa sonorité, d’une puissance jamais dure même lorsqu’il joue au fond du clavier. Un artiste exceptionnel à n’en pas douter au monde intérieur riche et éloquent » FIGARO. nov. 2017
« Pour la fantaisie, la personnalité, il faudrait attendre le 5 è (Prokofiev): Vadym Kholodenko y triomphe. Le pianiste ukrainien a un physique, une présence mais aussi une détente et une souplesse d’un félin. Il danse sur le clavier, le caresse avec sensualité avant de lui asséner des coups de griffes mortels. Cette oeuvre parfois déroutante peut alors, par la grâce d’un artiste qui se l’approprie totalement , déployer toutes ses richesses. Le grand moment de ce réjouissant marathon Prokofiev. » DIAPASON, janv.2017
» Son toucher porte le Concerto n°2 (Prokofiev) et fait preuve d’humour dans le Concerto n°5. Vadym Kholodenko interprète aussi le Concerto en la mineur de Grieg et le Concerto n2 en sol mineur de Saint Saëns avec un gout stylistique très sûr, sans jamais abuser de ses immenses moyens digitaux mis au service de la musique pure…. il fait preuve d’une aptitude à capter les climats, conjuguant sens de la respiration, fluidité du jeu, vérité des sentiments. D’une expression retenue, son art du clavier dosé jusqu’au refus de l’agressivité percussive retient l’attention dans ces pages pourtant rebattues. Un artiste à suivre » CLASSICA. octobre 2016.