Soliste à la réputation internationale, NICOLAS KEDROFF est lauréat de plusieurs concours , Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres. Il a su faire révéler à ce petit instrument triangulaire à trois cordes une telle richesse d’expression musicale qu’on l’a appelé un jour « Le Paganini de la balalaïka» ( Le Parisien).
Un des parents très proches de la guitare, une variété de luth, la balalaïka est un instrument populaire russe à cordes pincées, à manche longue et la caisse triangulaire. Symbole musicale de Russie, balalaïka est indissociable de la culture populaire.
Issu d’une famille de célèbres artistes de la première vague de l’immigration russe «blanche» du début du XX siècle, NICOLAS KEDROFF est un musicien prodigieux. Il a su créer son propre style de jeu , à la fois mélancolique et plein d’humour, intelligent et brillant par une virtuosité à couper le souffle. On dirait ses capacités techniques sont illimitées, quant au son, velouté et sensuel, il est d’une richesse et puissance de projection impressionnante pour un si petit instrument. «… Il faut le voir, autant que l’entendre, frapper, pincer et caresser son instrument, le mettre en émoi par un imperceptible tremblement de main le réconforter d’une pression de ses larges mains ou s’esclaffer avec lui…» (Nouvel Observateur).
NICOLAS KEDROFF a joué sur les scènes aussi prestigieuses comme la Salle Tchaïkovski, une des plus importantes de la capitale russe, Salle Pleyel, Hôtel de ville, Salle Cortot à Paris, Palais des congrès(Aix-en-Provence).